"D'une part, le savoir à enseigner avec des énoncés, des objets mathématiques, des théorèmes, des définitions, des systèmes de représentation (langue naturelle, symboles mathématiques, figures géométriques, etc.). Ces constituants permettent le fonctionnement et le développement de ces mathématiques en 'science autonome' qui ne se fonde et ne se développe que grâce à ses propres objets et méthodes explicitement formulées ou non.
"D'autre part, parce que l'on reconnaît, tacitement, des limites à cette 'autonomie', un savoir sur le savoir mathématique, non mathématique, non explicitement reconnu, accompagne en amont le fonctionnement et le développement du savoir mathématique à enseigner. Ce savoir sur le savoir propose des règles, des objets (indicateurs de sens, modèles, etc.), pour favoriser la mobilisation des connaissances et provoquer leur fonctionnement en vue d'une production mathématique conforme aux exigences du savoir à enseigner.
"L'ensemble des constituants en interaction de ces deux savoirs, porduit un objet que nous appellerons plan de signification du savoir mathématique à enseigner"
(Keskessa 1994 p.362)
"D'autre part, parce que l'on reconnaît, tacitement, des limites à cette 'autonomie', un savoir sur le savoir mathématique, non mathématique, non explicitement reconnu, accompagne en amont le fonctionnement et le développement du savoir mathématique à enseigner. Ce savoir sur le savoir propose des règles, des objets (indicateurs de sens, modèles, etc.), pour favoriser la mobilisation des connaissances et provoquer leur fonctionnement en vue d'une production mathématique conforme aux exigences du savoir à enseigner.
"L'ensemble des constituants en interaction de ces deux savoirs, porduit un objet que nous appellerons plan de signification du savoir mathématique à enseigner"
(Keskessa 1994 p.362)
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